- Dans les zones tendues ( c’est-à-dire celles où la demande n’est pas satisfaite ) les prix se sont renchéris quatre fois plus rapidement que l’inflation constatée ( FNAIM )
- Marché de l’immobilier « très sain, aujourd’hui » dans lequel « il n’y a pas de spéculation » ( Conseil Supérieur du Notariat )
- Acheter aujourd’hui, c’est aussi pouvoir s’endetter à très bas prix, les taux d’intérêt étant toujours au plancher
- « Aujourd’hui, les taux de crédit sont inférieurs à l’inflation française, qui a atteint 1,8 % en 2018. C’est une situation exceptionnelle pour les emprunteurs » ( FNAIM )
- « Il est finalement plus intéressant d’acheter aujourd’hui qu’en 2007, ……, car les prix sont moins élevés et les taux de crédit plus faibles » ( Conseil Supérieur du Notariat )
- Même verdict à la Fnaim, qui établit un indicateur du pouvoir d’achat des ménages en tenant compte de l’évolution des prix et de celle des taux d’intérêt. Cet indicateur est aujourd’hui nettement supérieur à ce qu’il était 10 ans plus tôt,
- La pierre dame le pion aux autres placements : on notera que pour un loyer ( indexé sur l’inflation ) de 3 à 4% de la valeur du bien les intérêts ( fixes et donc non indexés sur l’inflation ) annuels moyens par les acquéreurs sont de l’ordre de 1,3% de la valeur du bien . Donc L’investissement immobilier reste très rentable, quand les fonds euros des contrats d’assurance vie atteignent un rendement moyen de 1, 7% et 1,4% après prélèvements sociaux soit moins que l’inflation…
- On peut rajouter que l’immobilier semble être le seul placement qui a toutes les chances de faire mieux que l’inflation grâce notamment à l’effet de levier de l’endettement : on relève que le cout de l’emprunt est inférieur, voire nettement inférieur en indexant l’inflation, à la rentabilité nette de l’investissement
- Donc acheter de l’immobilier, malgré la hausse des prix , reste rentable car l’envolée des prix devrait se poursuivre…
Visuel © Leonid